L’amour n’a-t-il vraiment pas d’âge ? Selon cet adage, une relation sentimentale saine et consentie peut exister entre 2 personnes, qu’importe leurs âges et l’écart entre les 2. Mais est-ce vraiment applicable à TOUTES les relations ? Est-ce qu’un homme ou une femme de 50 ans considère réellement son ou sa partenaire comme son égal quand elle ou il en a 31 de moins ? Malgré la différence de maturité, de savoirs, et plus généralement d’expériences de vie ? 💭

C’est une question que l’on s’est posé avec l’aide du témoignage de Suzanne, qui lorsqu’elle avait 19 ans entre à la faculté. À l'époque, elle ne sait pas réellement vers quelle spécialité se tourner et décide alors de s'intéresser à une matière en particulier. Celle-ci est enseignée par un professeur qui réussit à passionner l’étudiante.

Âgé de 50 ans, il lui propose alors de venir boire du thé dans son bureau afin de discuter plus précisément de ces fondements. Des liens amicaux se créent entre eux, allant rapidement jusqu’à la liaison.
Cachée et secrète cette relation dont Suzanne ne voulait finalement pas, lui a laissé des séquelles et un goût amer.

Elle a fait le choix de nous en parler dans cet épisode.

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Musique : Sinclair Renou

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👉 Dans cet épisode on vous parle de mépris de classe, de jugements sur la pauvreté, de codes et d’inégalités sociaux.ales et de sans-abrisme avec Agy, fondatrice de l’association @laruetourne & Loïse co-fondatrice de ce podcast.

Agy et Loïse sont toutes les deux des transfuges sociales issues de la classe populaire qui ont grandi sous le seuil de pauvreté.

👉 @laruetourne a pour mission de déconstruire les stéréotypes visant les personnes vivant dans la précarité, vient en aide aux personnes sans-abris par des maraudes, des collectes, des sensibilisations en milieu scolaire, entre autres.

On vous conseille à tous.tes d’aller checker l’Instagram de l’association.

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👉 TW : Grossophobie, TCA

Dans cet épisode, on découvre le témoignage de Victor, un ancien gros qui n’a cessé de subir les jugements sur son poids, toute sa vie. Jusqu'à l’année dernière où il décide de perdre 40 kilos pour ne plus devoir faire face aux moqueries, aux regards, aux remarques et à l’exclusion.

La grossophobie est partout dans notre société, on a toutes et tous été conditionné.e à penser qu’être gros.se était un problème. Victor a été le premier concerné, se trouvant dans une situation de surpoids pendant très longtemps. Face à tout ça, il a choisi ce qui lui semblait la solution la plus simple : correspondre aux normes, aussi injustes soient elles. Il ne se sentait pas de lutter, de combattre les diktats et de devoir apprendre à s’accepter ainsi.

Son témoignage mérite toute notre écoute, car il en dit long sur ce que subissent les gros.se.s au quotidien. Il ne signifie pas cependant qu’il faut s’adapter aux normes sociales actuelles, on doit justement apprendre à les briser pour que chacun.e se sente bien et puisse mener sa vie sereinement. ✨

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